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Pourquoi, puisque notre désir de spectatrices et spectateurs ne se pose parfois que sur quelques films selon l’écho des médias, nous tournerions-nous vers de la différence et de la diversité ?
Pourquoi irions-nous nous frotter à des films de cinématographies étrangères en nous poussant à écouter une langue que l’on ne connaît pas, lire des sous-titres et s’immerger dans les codes d’un pays lointain (Sidonie au Japon) ? Pourquoi se donner la peine d’entendre la parole de l’autre si elle ne fait pas partie de notre environnement proche ou de notre quotidien (L’Homme aux mille visages, un menteur affabulateur et polygame chez Sonia Kronlund, que nous recevons le 19 avril, et Madame Hofmann, la générosité d’une infirmière du service public filmée par Sébastien Lifshitz) ?
Pourquoi risquer l’émotion non promise dans une bande-annonce, mais qui surgit tout à coup d’un plan, d’un regard, d’un paysage (Le Mal n’existe pas, le nouveau film du grand cinéaste japonais Hamaguchi, ample, mystérieux et envoûtant) ?
Pourquoi se retourner vers le passé et les cinéastes morts, même s’ils irriguent la pensée et l’imaginaire d’artistes contemporains, avec Un dimanche avec Jean-Luc Godard, une programmation proposée par le CNAP ? Ou encore vers des périodes révolues, même si elles nous éclairent sur notre présent (Le Jeu de la reine) ?
Pourquoi rire avec les autres en salle (Bis Repetita), ces inconnus qui ne seront nos voisins que le temps d’une séance, plutôt que de rester confortablement chez soi, à l’abri du dehors ? Pourquoi risquer l’inconnu ?
Parce qu’il s’agit des richesses de notre monde, de nos existences, plus vastes que nous l’imaginons et parce qu’il importe de maintenir vivace notre curiosité, comme un muscle à faire fonctionner, un cœur à irriguer et un regard généreux à continuer d’affûter. Alors laissez-vous guider, dans la jungle que sont les sorties de films, par nos propositions.
À celles déjà citées, j’ajoute notre nouvelle case, Horschamp qui propose du cinéma de genre que nous ne visitions que trop rarement. Pour l’inaugurer, nous avons choisi, Sleep de Jason Yu, le grand prix du festival de Gérardmer. Cette diversité, revendiquons-la, et notre programmation d’avril en est témoin, allant de Godard à S.O.S. Fantômes : La Menace de glace, un film fantastique – mais d’émancipation – ou bien d’actualité ?
Pour ma part, si notre univers se transforme en glace, j’irai Jusqu’au bout du monde avec Viggo Mortensen... Et vous ? Anne Huet, directrice des cinémas de Pantin
Au Ciné 104, l’accueil des enfants est possible à partir de 2 ans. En dessous de cet âge, la présence des enfants dans la salle de cinéma est interdite par le règlement du cinéma, en raison du volume sonore, nuisible aux oreilles des très jeunes enfants et pour le confort des autres spectateurs des séances.
Seule exception à cette règle : les séances « Bébés bienvenus »
Celles-ci sont organisées par le Ciné 104, avec des films destinées aux adultes et un volume sonore amoindri. Ces séances sont accessibles sous certaines conditions : les bébés de plus de 7 mois ne sont pas acceptés, les poussettes et les cosys restent à l’extérieur de la salle et les bébés sont dans les bras des parents pendant la projection.
Le Ciné 104 porte une attention particulière à l’accueil du jeune public et indique dans son programme un âge conseillé pour chaque film présenté. Pour être sûr.e.s que votre enfant profitera pleinement de la séance, nous vous recommandons de respecter à minima l’âge indiqué dans notre programme.
Cependant, chaque enfant étant différent, nous vous conseillons de regarder la bande-annonce du film et de vous renseigner pour savoir si la proposition est adaptée pour votre enfant, afin que ses premiers pas vers la salle de cinéma soient une expérience positive !
Emilie Desruelle
Responsable Education à l’image du Ciné 104
emilie.desruelle@est-ensemble.fr
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